Beautiful Lie

Rashan pilotait adroitement la navette é travers champ. Il volait bas, très bas pour éviter les repérages et tester la machine. Il n'aimait pas ces navettes, trop petites, trop lourdes, pas d'armement et après on vient se plaidnre à cause d'évaquation ratée. Durant le court voyage, Rashan repensa à la reine. Une vraie folle, bonne à enfermer loin de tous miroir. Il ne la supportait pas, d'autant plus que sa haine envers elle grandissait à chaque regard, parole, geste de sa part. En retournant en ville, il risquait de tomber sur le commandeur et franchement, il ne se gênerait pas pour lui mettre une balle entre les deux yeux, à elle, à la reine, à tous ceux qui se croit tellement mieux que les autres. Cet uniforme commencait à le dégouter, mais il continuait à le porter, parce qu'on ne peut trahir la confiance de ses hommes et puis tout était encore trop jeune pour être en place.

Rashan coupa par des petits quartiers, renversant sans gène fournitures et légumes des marchées. Son vaisseau avait le sigle royale, alors il en profitait, sans pour autant mettre en danger la vie d'autrui, il n'était pas comme ca, lui ses blessés, n'étaient que ceux qui le méritaient. Il arriva à l'aire spatiale, il se faufila entre les convoi, agilement causant des frayeurs à certains. Il frôla le vaisseau de sa supérieur, de tellement près que les ventres des vaisseaux se touchèrent, mais il ne s'arrêta pas pourquoi faire. Il était occupé et en retard. Il posa son vaisseau là où il fallait, ceux de la garde royale, puis en sortit.

Son plan était simple, un jeu d'enfant. Ce fut facile de piéger ceux dont Caleen voulait se débarasser, il avait suffit de dire qu'il voulait renversé le pouvoir et ils l'avaient suivi. Pour une fois qu'il disait la vérité, cela devrait couter la vie à deux personne, enfin plus ou moins. Pour soit disant les protéger Rashan leur proposa de les amener en lieu sûr en affirmant que son vaisseau était sûr dans la partie de la garde royale. Les politiciens sont aussi arrogant que bêtes, quand on sait comment s'y prendre, il est tellement facile de les manipuler. Un oubli signalé, un verrouillage d'appareil, un regard derrière pour dire salut et il s'en allait tout en sortant la télécommande de sa veste.

*c'est dommage....je les aimais bien....enfin les politiciens....il faut bien les faire sauter de temps à autre*

Il fut sorti du Hangar quand il appuya sur le bouton. Une explosion retentit.

"Oups....j'ai oublié de fermer les arrivés d'hydrogène..."

Il eu un sourire et alors que la plupart des gens se précipitait vers la source de cette explosion, lui s'en allait tranquillement avant de jeter la télécommande dans la poubelle et enlever ses gants qu'il enfourna dans sa poche.

* Avec les réparations, les enquetes, etc., je serai tranquille pour continuer à ramasser un dossier*